dimanche 4 juillet 2004
Qualité du nucléus et substitut aux nacres habituelles
Tahitian grafter l
dimanche 4 juillet 2004 - 15:02
Catégorie : Perliculture dans le Monde
Ajai K. Sonkar, Dr
Président, Pearl Aquaculture Research Foundation, 557/470, Old Katra, Allahabad 211 002 (Inde)
S’interrogeant sur la particularité des nacres se prêtant bien à la formation de nucléi, on s’est employé à déterminer les propriétés du nucléus optimal et ce qui en fait un nucléus parfait à insérer dans une huître : était-ce sa dureté ? sa densité ? la qualité lisse de sa surface ? sa couleur ou sa brillance ?
Pourquoi seule une coquille d’un bivalve d’eau douce convient-elle à la formation de nucléi ? Ce choix affecte-t-il la qualité de la perle ou s’explique-t-il seulement parce qu’il rend la perle facile à percer ? La coquille du nucléus détermine- t-elle la qualité de la perle ou son acceptation par l’huître qui la reçoit ? Un nucléus provenant d’un bivalve vivant en eau saline présente-t-il la même facilité de perçage, et le fait d’avoir une surface parfaitement lisse —tous les autres facteurs ci-dessus étant réunis — apporte-t-il à la perle une qualité supplémentaire ?
L’auteur a effectué des essais avec plusieurs coquilles, venant à la fois d’environnements salin et d’eau douce, afin de trouver un substitut aux coquilles de bivalves d’eau douce habituellement utilisées. Il a obtenu des résultats intéressants. C’est ce qui fait l’objet de cette monographie, qui décrit tous les aspects (cités ci-dessus) du nucléus et les résultats des expériences et des essais de comparaison.
Président, Pearl Aquaculture Research Foundation, 557/470, Old Katra, Allahabad 211 002 (Inde)
S’interrogeant sur la particularité des nacres se prêtant bien à la formation de nucléi, on s’est employé à déterminer les propriétés du nucléus optimal et ce qui en fait un nucléus parfait à insérer dans une huître : était-ce sa dureté ? sa densité ? la qualité lisse de sa surface ? sa couleur ou sa brillance ?
Pourquoi seule une coquille d’un bivalve d’eau douce convient-elle à la formation de nucléi ? Ce choix affecte-t-il la qualité de la perle ou s’explique-t-il seulement parce qu’il rend la perle facile à percer ? La coquille du nucléus détermine- t-elle la qualité de la perle ou son acceptation par l’huître qui la reçoit ? Un nucléus provenant d’un bivalve vivant en eau saline présente-t-il la même facilité de perçage, et le fait d’avoir une surface parfaitement lisse —tous les autres facteurs ci-dessus étant réunis — apporte-t-il à la perle une qualité supplémentaire ?
L’auteur a effectué des essais avec plusieurs coquilles, venant à la fois d’environnements salin et d’eau douce, afin de trouver un substitut aux coquilles de bivalves d’eau douce habituellement utilisées. Il a obtenu des résultats intéressants. C’est ce qui fait l’objet de cette monographie, qui décrit tous les aspects (cités ci-dessus) du nucléus et les résultats des expériences et des essais de comparaison.